Et si l’échec n’était pas le vrai danger?
Tout le monde veut réussir. Mais avant même d’oser essayer, beaucoup abandonnent intérieurement. Pourquoi ? À cause de la peur de l’échec.
Cette peur est sournoise. Elle se déguise en excuses rationnelles :
“Ce n’est pas le bon moment.”
“Je dois d’abord me former.”
“Et si je n’y arrive pas ?”
Mais soyons honnêtes : derrière ces phrases, il y a surtout une peur paralysante… celle de rater, de perdre, de se ridiculiser.
L’échec fait partie du processus
Si vous regardez n’importe quelle personne que vous admirez — entrepreneur, artiste, athlète — vous verrez une chose en commun : ils ont échoué. Plusieurs fois.
Ce n’est pas l’échec qui les a arrêtés.
C’est la manière dont ils y ont répondu qui a fait toute la différence.
“L’échec n’est pas une fin. C’est une étape. Une leçon. Un filtre pour voir qui veut vraiment réussir.”
Mawa McQueen
Ce que la peur de l’échec vous vole :
- Des opportunités que vous ne verrez jamais
- Des connexions que vous n’oserez pas créer
- Des talents que vous n’exploiterez pas
- Et surtout : le respect de vous-même
Parce que chaque fois que vous vous cachez derrière la peur, vous trahissez votre propre ambition.
3 vérités à retenir :
Vous échouerez parfois. Et c’est OK.
L’échec est un enseignant brutal, mais honnête.
2. Vous n’avez pas besoin de confiance pour commencer.
Vous avez besoin de courage.
3. Vous pouvez avoir peur… et agir quand même.
La peur ne disparaît pas, mais elle se calme quand vous passez à l’action.
À faire aujourd’hui :
Prenez une feuille. Écrivez ce que vous rêvez de faire… puis ce que la peur vous dit à ce sujet.
Ensuite, posez une première petite action. Un appel. Un mail. Une décision.
Parce qu’au fond, l’échec n’est pas de tomber.
C’est de ne jamais essayer.
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